Tout petit déjà on nous répéter « Ne pleure pas », « Sèche tes larmes », « Arrête de pleurnicher », « Sois courageux », « Garde ça pour toi ». Milles et une autres phrases prononcer très certainement avec bienveillances et qui ont façonné la manière dont des sociétés entières ont appris à gérer et réguler leurs propres émotions.
Origine et conséquences du refoulement émotionnel
Ce réflexe de refoulement est intégré dès l’enfance par notre famille, la société, l’école nous enseignant que certaines émotions sont innapropriées ou signe de faiblesse.
Ces banalisations et cette méconnaissances du fonctionnement émotionnelle de l’être humain entrainent un mal-être, une douleur silencieuse, contraignant à n créer des mécanismes de surcompensation pour tenter de vivre une vie normale et nous les appelons : stress, tensions musculaires, maux de tête, fatigue excessive, manque de compassion, déconnexion de soi, colère, frustration, peur excessive, prise de poids, insomnie..
Quand on refoule tout s’accumule et finit par exploser ou s’éteindre très souvent de manière incontrôlable comme si l’on perdait le cap de notre vie sans avoir la capacité de faire quoi que ce soit.
Sur le plan physiologie et scientifique, nous le savons déjà depuis un moment, ces états de compensation créer un environnement chimique, hormonale propice à la déruglation de l’organisme entrainant pathologie, douleur et maladie qui n’arrivent malheureusement pas à être expliqué par les corps médicaux généraux.
La bonne nouvelle, c’est que sortir de cette état et retrouver la santé est possible.
La mauvaise c’est que personne ne nous à appris comment faire cela et que le chemin vers cette gérison demande apprentissage, curiosité, patience et pratique régulière vous garantissans un changement de vie radicale et positif.
Refouler ≠ Réguler
Refouler, c’est ignorer, cacher, ne pas reconnaitre la présence de cette chose qui nous dérange, être dans le déni parce que mettre en lumière ce que l’on nous appris à qualifié de « mal » alors nous ressentirons de la honte, de la gêne, nous aurons l’impression de ne pas être à la hauteur, d’être jugé, d’être rejetté. Ce que les mots ne peuvent exprimer, le corps l’emmagasine.
L’autre possibilité s’appelle la régulation qui implique l’acceptation, la compassion. Prendre conscience de ce qu’on ressens et pourquoi nous le ressentons sans jugement et sans honte. Une des clés qui m’a beaucoup aidé à accepter mes émotions et de comprendre que chacune d’elle à un rôle dans nos vies et une signification avec un rôle de protection notamment pour les émotions que nous n’aimons pas.
Comprendre la signification de nos émotions et déjà un premier pas vers la régulation. Elle nous apprennent que nous sommes légitimes de les ressentir.